Laterre est bleue comme une orange. Pendant le premier confinement, je sentais la terre diminuer et ce vers de Paul Eluard me revenait en tĂȘte. La terre rapetissait, nous entraĂźnant dans son implosion La terre Ă©tait si petite qu’elle en devenait orange Notre belle planĂšte bleue devait se marier avec sa complĂ©mentaire orange ! Reconnaissez qu’il y a de quoi broyer du LaTerre est bleue comme une orange Paul Eluard La Terre est bleu comme une orange est un des poĂšmes (le 7Ăšme) du recueil L'amour la poĂ©sie de Paul Eluard, il fut publiĂ© en 1929. Ce poĂšme parle des premiĂšres annĂ©es d'amour avec sa femme et sa muse Gala, Ă  un temps oĂč ils Ă©taient heureux. Ce poĂšme comporte 2 strophes, avec trĂšs peu de ponctuation. Il s'agit d'un poĂšme ï»żLaterre est bleue comme une orangeJamais une erreur les mots ne mentent. Paul Eluard. 1. Bleue, bleue, notre vie est un triste sort. Toujours enfermĂ©, on voudrait voir dehors. Charles Trenet , L'Ecole buissonniĂšre. 4. Bleue, bleue, notre vie Est Laterre est bleue comme une orange – EugĂšne Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard; La terre est bleue comme une orange – EugĂšne Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard octobre 4, 2009 FJ. La terre est bleue comme une orange Jamais une erreur les mots ne mentent pas Ils ne vous donnent plus Ă  chanter Au tour des baisers de s’entendre Les fous et les amours Elle sa Àla question « Pourquoi le titre « La Terre est bleue comme une orange ? » », posĂ©e par une spectatrice dans la salle, la cinĂ©aste rĂ©pond « ce titre surrĂ©aliste vient d’un poĂšme de Paul Eluard : il a Ă©tĂ© choisi pour montrer une situation de vie surrĂ©aliste oĂč se cĂŽtoient la paix et la guerre ».Dans ce quotidien oĂč le conflit devient la norme, il est fondamental d Laterre est bleue. La terre est bleue comme une orange Jamais une erreur les mots ne mentent pas Ils ne vous donnent plus Ă  chanter Au tour des baisers de s'entendre Les fous et les amours Elle sa bouche d'alliance Tous les secrets tous les sourires Et quels vĂȘtements d'indulgence À la croire toute nue. Les guĂȘpes fleurissent vert L'aube CepoĂšme surrĂ©aliste de Paul Éluard, La Terre est bleue comme une orange, me revenait en tĂȘte au moment de visiter l'exposition Bleu au MusĂ©e d'art contemporain. Arborant le sarrau multicolore d'usage des Mardis crĂ©atifs, je parcourais l'exposition monochrome, cherchant quelque trace d'inspiration pour l'atelier qui allait suivre.Je me fondais ainsi, par un mardi aprĂšs LA TERRE EST BLEUE COMME UNE ORANGE » Paul Éluard. A l’image de cette phrase Éluardienne, nous aimons regarder les choses sous des angles diffĂ©rents. Nous accompagnons, au plus prĂšs, les dirigeants, managers et experts dans la DMP- Paul Éluard : "La terre est bleue comme une orange". 119 en FRANCE. // 107 en BELGIQUE. Bonjour les amis, Vous ĂȘtes de plus en plus de jeunes Ă  me suivre sur les rĂ©seaux, et je reçois Bonjour Dans L’Amour la poĂ©sie de Paul Éluard, la phrase « La Terre/terre est bleue comme une orange » m’interpelle. Sur internet, on trouve majoritairement la graphie avec un « t » minuscule. Pourtant, quand on dit que la Terre est bleue, on parle bien de la planĂšte et il convient donc de mettre une majuscule. v2fUz. ï»żTexte admirable, d’une densitĂ© et d’une richesse exceptionnelles. Tant une cĂ©lĂ©bration de l’amour universel qu’une fĂȘte de la langue, Ă©tant entendu que l’amour, la langue et la culture elle-mĂȘme sont revisitĂ©s par le surrĂ©alisme tel que le concevait Paul Eluard, dans le fond comme dans la forme. Je dĂ©die le commentaire qui suit, trĂšs personnel, aux irrĂ©ductibles sceptiques de la poĂ©sie surrĂ©aliste, encore trop nombreux
 L’énoncĂ© La Terre est bleue comme une orange » ne veut pas rien dire. Le sujet d’énonciation est formel cet Ă©noncĂ© ne rĂ©sulte pas d’une erreur qui aurait substituĂ© l’adjectif bleu » Ă  l’adjectif rond » ou sphĂ©rique » Jamais une erreur les mots ne mentent pas ». Ce que doit comprendre la destinataire du discours cf. vous » qui devient Tu » ne s’avĂšre pas moins vrai que les propos d’un GalilĂ©e sur la rondeur de la terre La terre, submergĂ©e d’eau Ă  70%, est bien une planĂšte bleue », et l’orange est Ă©galement bleue » en ce qu’elle reste un fruit mĂ©diterranĂ©en. C’est qu’il ne faut pas s’arrĂȘter Ă  l’opposition apparente des couleurs bleue » et orange », ni Ă  celle de la terre ferme et de l’eau ; la terre et l’orange sont bleues » comme la mer pour ceux qui prennent le parti non pas de la raison traditionnelle, mais de la vie elle-mĂȘme, non pas de la poĂ©sie lyrique traditionnelle, mais de la rĂ©volution poĂ©tique surrĂ©aliste [les mots] ne vous donnent plus Ă  chanter Autour des baisers de s’entendre ». Plus prĂ©cisĂ©ment, la poĂ©sie traditionnelle n’a jamais chant[Ă©] » le monde, mais qu’une reprĂ©sentation rationnelle du monde terre = sphĂšre = orange. Le surrĂ©alisme poĂ©tique pour sa part n’est pas la raison traditionnelle qui chante l’amour, mais l’Amour lui-mĂȘme, qui, naturellement harmonieux, doit se faire entendre Autour des baisers de s’entendre » ; reconnaissant notamment une dynamique irrationnelle de l’amour cf. Les fous et les amours », il surmonte les oppositions connotatives terre / mer, bleu / orange pour rĂ©unir les termes dans une langue fructueuse, rĂ©gĂ©nĂ©rante et totalisante terre / mer = bleu / orange + terre = sphĂšre = orange, soit terre=/= bleu=/=orange ; il part de la vie telle qu’elle est pour construire une vĂ©ritĂ© nouvelle et absolue oĂč s’épousent, fleurissent, dans un mĂȘme Ă©noncĂ©, des termes apparemment antinomiques et incompatibles La terre est bleue comme une orange ». Comme les physiques copernicienne et galilĂ©enne, rĂ©volutionnaires en leur temps par rapport aux physiques hĂ©ritĂ©es de l’antiquitĂ© ou inspirĂ©es par la Bible, la rĂ©volution surrĂ©aliste est d’une vĂ©ritĂ© poĂ©tique supĂ©rieure Ă  la poĂ©sie traditionnelle, en ce sens que, dĂ©terminĂ©e Ă  apprĂ©hender la vie telle qu’elle est, elle restitue toute la vitalitĂ© de l’amour, sa nature Ă  la fois irrationnelle et rationnelle ; elle est l’amour lui-mĂȘme, et en cela une poĂ©sie Ă©purĂ©e, comme invite Ă  l’entendre le titre L’Amour la poĂ©sie » donnĂ© au recueil oĂč s’inscrit le texte. On peut dire que le surrĂ©alisme s’ajoute au rĂ©alisme de la poĂ©sie traditionnelle, au sens qu’il l’enrichit, le complĂšte, le parachĂšve. Si l’ orange » est Ă©videmment un fruit rond Ă  l’image de la terre », il est aussi, poĂ©tiquement, rĂ©ellement, plus que cela un fruit de la terre et du soleil + rĂ©alitĂ©, de l’amour desquels il restitue l’image + poĂ©sie. L’ orange » est autant un fruit mĂ©diterranĂ©en que le fruit d’une terre ensoleillĂ©e. Dans le texte, il semble en effet que la rondeur se rapporte Ă  l’amour, plus exactement Ă  l’amour originel du soleil », lequel s’engage, tant pour une journĂ©e que pour l’éternitĂ©, dans un cycle Ă©rotique et galant. L’énoncĂ© surrĂ©aliste La terre est bleue comme une orange » doit se comprendre comme une consĂ©quence de l’énoncĂ© Tout le soleil sur la terre », d’inspiration paĂŻenne, Ă©noncĂ© qui rĂ©pond lui-mĂȘme Ă  d’autres Ă©noncĂ©s, comme il sera vu plus loin. Une tradition paĂŻenne interprĂšte bien le coucher du soleil comme un acte d’amour du dieu Soleil Ă  la dĂ©esse Terre ; on en trouve de vives rĂ©miniscences dans de nombreux Ă©crits, comme le texte Soleil et chair » du jeune Arthur Rimbaud. Le soleil » du poĂšme ressemble Ă  un dieu paĂŻen des mythologies antiques grecque, romaine, Ă©gyptienne
, Ă  une force de la nature personnifiĂ©e, solaire, cyclique et rayonnant comme le dieu Apollon, chef de clan, entreprenant et fĂ©cond comme le dieu Zeus, lequel aimait jusqu’à l’inceste, jusqu’à sĂ©duire les mortelles de son propre sang, en adoptant Ă  cette fin des formes multiples, tant humaines qu’animales ou objectales, crĂ©ateur de l’univers et source de vie comme le dieu RĂȘ Ă©galement confondu un temps avec Amon d’oĂč Amon-RĂȘ, lequel, pĂšre de toutes les crĂ©atures vivantes, Ă©tait reprĂ©sentĂ© notamment par un homme ithyphallique ; et l’astre se consacre prĂ©cisĂ©ment Ă  l’amour, dans un cycle ininterrompu de sĂ©duction et de sexualitĂ©, de son lever matinal Ă  son coucher nocturne L’aube se passe autour du cou », Tout le soleil sur la terre » ; l’énonciataire elle-mĂȘme tĂ©moigne un charme propre Ă  s’attacher l’amour supĂ©rieur du soleil Tu as toutes les joies solaires Tout le soleil sur la terre Sur les chemins de ta beautĂ© ». Notons que, rond comme le soleil et beau comme les feux de l’amour, l’amour solaire exprime dans le poĂšme, Ă  la diffĂ©rence des dieux paĂŻens, une volontĂ© d’ alliance » au sens fort ; matĂ©rialisable sous la forme d’un premier collier » de fiançailles L’aube se passe autour du cou Un collier de fenĂȘtres », puis sous la forme de l’anneau nuptial qu’une Ă©pouse reçoit avec le baiser protocolaire Elle sa bouche d’alliance », il est un engagement sentimental par lequel la femme s’embellit, rayonne. L’énoncĂ© La terre est bleue comme une orange » va jusqu’à traduire un accomplissement fĂ©minin de la terre, qui, fĂ©condĂ©e par le soleil une nuit Tout le soleil sur la terre », a donnĂ© jour / naissance Ă  l’orange, fruit de ses entrailles ; le bleu » renvoie finalement moins Ă  l’idĂ©e de la mer qu’à l’idĂ©e de l’eau elle-mĂȘme, en tant que source de vie idĂ©e de l’eau fertile chĂšre aux Égyptiens. Le poĂšme se prĂ©sente bien comme une rĂ©flexion ontologique. Il questionne les Ă©lĂ©ments premiers de la mĂ©taphysique classique la terre », l’eau bleue », le feu soleil ». S’inspirant des mythologies de l’antiquitĂ©, puisant surtout dans le patrimoine culturel de l’inconscient collectif, il va jusqu’à proposer une nouvelle genĂšse, une cosmogonie moderne et surrĂ©aliste. Pour le sujet d’énonciation s’adressant Ă  l’énonciataire, en effet, au commencement Ă©tait l’Amour ; plus prĂ©cisĂ©ment l’amour Ă©ternel que le soleil » porte Ă  la terre ». Cet amour est Ă©ternel, car, d’une part, il s’exprime chaque soir, continuellement, dans le coucher du soleil Tout le soleil sur la terre », et, d’autre part, il a donnĂ© la vie, qui se reproduit infiniment Ă  travers toutes les formes vivantes terrestres, descendance du couple premier l’ orange », certes, mais aussi l’énonciataire Tu », les guĂȘpes », les fleurs cf. fleurissent », les feuilles », le sujet d’énonciation lui-mĂȘme, et, enfin, une tierce personne Elle ». Les amours » multiples de la nature participent de l’Amour, un, cyclique, universel ; le printemps, saison des amours », est une cĂ©lĂ©bration de la vie par la nature entiĂšre, en tant qu’il commĂ©more et perpĂ©tue l’union originelle de l’astre de feu et de la planĂšte bleue Notamment les guĂȘpes fleurissent vert », se reproduisant en s’unissant si parfaitement aux plantes vertes que leurs ailes » transparentes en couvrent les feuilles ». L’énonciataire, une fille de la terre », vit une Ă©closion de sa beautĂ© » qui appelle, embrase, la sexualitĂ© et l’amour du sujet d’énonciation, un fils du soleil », de sorte qu’il lui dĂ©clare sa flamme Tu as toutes les joies solaires Tout le soleil sur la terre Sur les chemins de ta beautĂ© ». Elle », citĂ©e en exemple par le sujet d’énonciation dans le but de conquĂ©rir l’énonciataire, n’exprime que de la solidaritĂ© pour son Ă©poux Elle sa bouche d’alliance », dont elle tire un sentiment d’accomplissement tel Tous les secrets tous les sourires », qu’elle n’en paraĂźt que plus indulgente pour sa virginitĂ© ravie et perdue Et quels vĂȘtements d’indulgence À la croire toute nue » ; en cela, elle s’oppose fonciĂšrement Ă  Ève, dont la GenĂšse biblique dit qu’elle s’est sentie honteuse et dĂ©vĂȘtue / nue, aprĂšs avoir Ă©tĂ© sĂ©duite par le serpent, puis avoir acquis les secrets de l’arbre de la connaissance en goĂ»tant au fruit dĂ©fendu. Le poĂšme constitue ainsi un discours galant du sujet d’énonciation Ă  l’intention de l’énonciataire. Plus prĂ©cisĂ©ment une demande en mariage brĂ»lante cf. alliance », dans une Ă©poque oĂč le dĂ©pucelage fĂ©minin Ă©tait accompli durant la nuit de noces cf. Tout le soleil sur la terre ». Si, pronominalement, le sujet d’énonciation interpelle bien l’énonciataire vous », Tu » et se rĂ©fĂšre mĂȘme Ă  une troisiĂšme personne Elle », il ne se dĂ©signe pas personnellement toutefois, prĂ©fĂ©rant se fondre dans une reprĂ©sentation virile de l’amour solaire ex Tu as toutes les joies solaires ». Il n’en reste pas moins fou amoureux de l’énonciataire cf. les fous et les amours », comme il sied aux hommes dans la phase printaniĂšre du cycle de la vie ex les guĂȘpes fleurissent vert » qu’on appelle jeunesse ; il souhaite que son interlocutrice encore vierge devienne comme une tierce personne citĂ©e en exemple, Elle », c’est-Ă -dire une Ă©pouse cf. Elle sa bouche d’alliance », Ă  qui il offrirait une nuit de noces aussi ardente qu’un coucher de soleil cf. Tu as [
] Tout le soleil sur la terre », et des entrailles de qui naĂźtrait, un jour, le fruit de leur amour cf. La terre est bleue comme une orange » ; son enthousiasme, son ardeur, le fait passer d’un vous » respectueux Ils ne vous donnent plus Ă  chanter » Ă  un tu » intime Tu as toutes les joies solaires ». DĂ©sireux de convaincre l’énonciataire des vertus de l’Amour, il cĂ©lĂšbre dans son discours non pas l’amour traditionnel mais l’amour surrĂ©aliste, soit l’amour en acte, source de Vie et de VĂ©ritĂ©, sa dĂ©marche galante elle-mĂȘme initiant la finalitĂ© matĂ©rielle et terrestre de l’Amour La terre est bleue comme une orange Jamais une erreur les mots ne mentent pas Ils ne vous donnent plus Ă  chanter Autour des baisers de s’entendre ». L’amour au sens surrĂ©aliste du terme surmonte les contradictions de l’amour paĂŻen et de l’amour chrĂ©tien ; il est irrationnel et multiple Les fous et les amours », se rapprochant en cela de la conception paĂŻenne, elle-mĂȘme fondĂ©e sur les plaisirs de la nature ; il est paradoxalement rationnel et un Ă  l’image de la constance du coucher du soleil, oĂč l’astre de feu rejoint la planĂšte bleue, dans une unitĂ© renouvelĂ©e du couple et de la famille Tout le soleil sur la terre », La terre est bleue comme une orange » ; et si, comme le christianisme, il scelle l’ alliance » complĂ©mentaire du masculin et du fĂ©minin dans le cadre du mariage, en donnant Ă  celui-ci la procrĂ©ation pour finalitĂ© cf. orange », fleurissent », il se distingue du rationalisme chrĂ©tien en ce qu’il ne juge pas la sexualitĂ© comme un mal nĂ©cessaire, un pĂ©chĂ© originel, mais comme un bien pour lui-mĂȘme naturellement Ă©mancipateur Elle sa bouche d’alliance Tous les secrets tous les sourires Et quels vĂȘtements d’indulgence À la croire toute nue » ; il propose en fait une morale nouvelle, supĂ©rieure Ă  l’irrationalisme paĂŻen et Ă  la raison chrĂ©tienne traditionnelle, en ce qu’il les rĂ©unit, les adapte pour l’un Ă  l’ordre rationnel du monde, pour l’autre aux plaisirs souverains de la vie, le corps et l’esprit, le sexe et le cƓur, la terre et le ciel, n’étant plus inconciliables. L’amour surrĂ©aliste comble la totalitĂ© de la femme dans chacune de ses parties ; avec lui, par exemple, la grĂące du cou » fĂ©minin s’offre au monde, s’ouvre Ă  la vie L’aube se passe autour du cou Un collier de fenĂȘtres » ; la bouche » fĂ©minine, sensuelle et charmante, exprime sa plĂ©nitude dans le bonheur conjugal Elle sa bouche d’alliance Tous les secrets tous les sourires ». Le sujet d’énonciation entend faire Ă  l’énonciataire une demande enfammĂ©e qui s’inscrit dans la dynamique et le cycle de la vie ; en acquiesçant, la jeune Ă©nonciataire n’en sera que plus belle, et s’assurera d’un cheminement terrestre Ă  la fois radieux et accompli Tu as toutes les joies solaires Tout le soleil sur la terre Sur les chemins de ta beautĂ© ». 31 citations de Paul Eluard Paul Éluard, de son vrai nom EugĂšne Émile Paul Grindel 14 dĂ©cembre 1895 - 18 novembre 1952 Ă©tait un poĂšte français. Il adhĂ©ra au dadaĂŻsme et fut l'un des piliers du surrĂ©alisme en ouvrant la voie Ă  une action artistique engagĂ©e. Genre Homme NationalitĂ© Français Profession, rĂ©compense PoĂšte Date de naissance 14 dĂ©cembre 1895 Date de dĂ©cĂšs 18 novembre 1952 Pleure les larmes sont les pĂ©tales du cƓur. Larmes On transforme sa main en la mettant dans une autre. Changement Et par le pouvoir d’un mot ; Je recommence ma vie ; Je suis nĂ© pour te connaĂźtre ; Pour te nommer LibertĂ©. LibertĂ© Un rĂȘve sans amour est un rĂȘve oubliĂ©. RĂȘve Le poĂšte est celui qui inspire bien plus que celui qui est inspirĂ©. Les poĂštes ont toujours de grandes marges blanches, de grandes marges de silence oĂč la mĂ©moire ardente se consume pour recrĂ©er un dĂ©lire sans passé  On rĂȘve sur un poĂšme comme on rĂȘve sur un ĂȘtre. Ralentir travaux PoĂ©sie Le lecteur d'un poĂšme l'illustre forcĂ©ment. Donner Ă  voir PoĂ©sie La courbe de tes yeux fait le tour de mon cƓur. Capitale de la douleur, Ă©d. Gallimard Amour Le passĂ© est un Ɠuf cassĂ©, l'avenir est un Ɠuf couvĂ©. Avenir La terre est bleue comme une orange. L'Amour, la PoĂ©sie PoĂ©sie Un cƓur n'est juste que s'il bat au rythme des autres cƓurs. Coeur Laissez-moi seul juger de ce qui m'aide Ă  vivre. Vie La femme garde toujours dans sa fenĂȘtre la lumiĂšre de l'Ă©toile, dans sa main la ligne de vie de son amant. Amant J'entends ta voix dans tous les bruits du monde. Voix Un rĂȘve sans Ă©toiles est un rĂȘve oubliĂ©. RĂȘve Les yeux de la luxure ont des joies secrĂštes. Luxure Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Stand With Ukraine! Artiste Paul Éluard Album L'Amour la PoĂ©sie Traductions roumain ‱Traductions des reprises anglais, portugais français français La terre est bleue comme une orange ✕ La terre est bleue comme une orange Jamais une erreur les mots ne mentent pas Ils ne vous donnent plus Ă  chanter Au tour des baisers de s’entendre Les fous et les amours Elle sa bouche d’alliance Tous les secrets tous les sourires Et quels vĂȘtements d’indulgence À la croire toute guĂȘpes fleurissent vert L’aube se passe autour du cou Un collier de fenĂȘtres Des ailes couvrent les feuilles Tu as toutes les joies solaires Tout le soleil sur la terre Sur les chemins de ta beautĂ©. Ajouter une nouvelle traduction Ajouter une nouvelle demande Traductions de La terre est bleue ... » Music Tales Read about music throughout history