Commenouveau style de vacances à la mode et voulant profiter de personnes souhaitant se rendre utiles, certaines organisations profitent de la crédulité des touristes. On les envoit alors dans des orphelinats qui n’en sont pas ou encore, dans des fermes d’élevages d’animaux soit disant sanctuaires, qui utilisent leurs animaux pour la chasse aux trophées. Vousavez entre 16 et 25 ans, vous êtes étudiants, scouts ou lycéens et souhaitez vous engager dans une mission de bénévolat solidaire, vous avez frappé à la bonne porte ! Prosuma organise des missions de bénévolat en Grèce et en Roumanie. Plus précisément, nous mettons en relation des jeunes volontaires avec des structures à Partirà l’étranger est la meilleure façon de découvrir une culture, de maîtriser une langue, d'appréhender un nouvel environnement, de se découvrir de nouvelles aptitudes et parfois même un nouvel horizon.Quel que soit votre âge, que vous soyez un étudiant ou un professionnel, nous vous accompagnons dans cette démarche afin de vous permettre de vivre une expérience de Bénévolat: des ambassadeurs dans les collèges et lycées. Par Aude Seres. Publié le 30/11/2010 à 15:46, Mis à jour le 01/12/2010 à 15:47. L'étude Ifop Attention à l'étranger, il faut être vigilant en choisissant votre chantier de bénévoles, effectivement, faites attention à bien choisir une association agréée, à ne pas envoyer des frais d'inscription avant votre départ, et à être d'autant plus vigilant concernant les missions de "tourisme humanitaire". Renseignez-vous sur l'implantation de l'association sur place et sur ses Entant qu’amateur, vous pourriez gagner jusqu’à 2 000 $ à 3 000 $ par mois. Commencez à bloguer maintenant, de sorte que lorsque vous êtes en vacances, vous gagnerez de l’argent à l’étranger. Gardez à l’esprit que les blogs demandent du temps et de la patience. Créer des blogs peut être un excellent moyen de gagner de l LeLieu de Vie et d’Accueil Maison tremplin » porté par l’ association Les Villages des Jeunes (Hautes-Alpes, région Provence-Alpes-Côte d’Azur), permet à des adolescent.e.s traversant des difficultés d’être accueilli-e-s dans le cadre de «séjours ressource» (souvent appelés séjours « de rupture » ou « d’éloignement » ). Ceservice te permet de consulter les offres à l'étranger et de postuler à 1 offre par semaine gratuitement. Si tu trouves le test intéressant, tu peux t'abonner pour 45€/an afin consulter et répondre à l'intégralité des offres, bénéficier d'un accompagnement individuel ou tchater pour discuter en direct de ton projet. Remarque: Le travail dans une ferme ne peut pas constituer la principale raison de l'entrée au Canada; l'étranger doit avoir d'autres projets pour la majeure partie de son séjour au Canada. Il faut que le bénévolat soit une activité secondaire (accessoire) par rapport à la raison principale du séjour (faire du tourisme, rendre visite à des parents ou des amis, etc.). Léchine courbée sur un plant de fraisier, une fraise à la bouche, les autres dans une barquette, Orlane, 21 ans, expérimente pour la première fois le Ys2Xnq9. L’équipe du pôle développement de l’Eusko s’agrandit ! Nous avons le plaisir d’accueillir Léa, nouvelle chargée de développement du réseau des professionnels de l’Eusko sur les zones de Bayonne, Nive Adour et Pays de Bidache. Originaire de Bayonne, Léa est une passionnée de voyages, de sports et de tout ce qui tourne autour de l’Océan. Après avoir travaillé et effectué de nombreuses missions de bénévolat autour de la sensibilisation de l’environnement et du développement durable, elle souhaite désormais investir son énergie pour son territoire ! En tant que professionnels du réseau Eusko, peut-être serez-vous amenés à la rencontrer ? Découvrez son portrait ————— Présente-toi, tu es originaire du Pays Basque ? Je m’appelle Léa, je suis originaire de Bayonne et j’ai fait mes études supérieures à Bordeaux. Je suis depuis très jeune engagée dans le milieu associatif. Quand j’étais au lycée j’ai monté une association avec des amis et c’est ce qui m’a donné envie de travailler dans ce domaine. J’ai ensuite fait beaucoup de bénévolat et de volontariat à l’étranger ce qui m’a permis d’acquérir beaucoup d’expérience autour de sujet relatif à la sensibilisation de l’environnement et au développement durable. J’ai donc choisi de faire des études assez générales dans le management international et la gestion de projet afin de pouvoir mettre mes compétences à profit de projets à l’étranger, toujours dans le milieu associatif auprès d’ONG. Avec le temps, j’ai eu envie d’investir mon énergie sur mon territoire, au Pays Basque. Pourquoi avoir postulé à l’Eusko ? Dans quelles valeurs tu te retrouves le plus ? J’ai postulé à l’Eusko car je suis animée par la volonté de faire quelque chose pour la transition écologique et c’est ce qui a été le fil conducteur de toute mes expériences. Mais j’arrive à un moment où je suis convaincue que la transition de peut pas être qu’environnementale, elle doit aussi être économique et sociale. J’ai toujours aimé travailler pour la dynamisation des territoires, même à l’étranger car j’avais les mêmes objectifs de pouvoir combiner des solutions locales à des problèmes plus globaux. Je suis convaincue que la sensibilisation à l’environnement, la re localisation de l’économie et la re dynamisation des territoires est une affaire de tous ! Et selon moi, l’Eusko est un outil parfait pour arriver à fédérer plusieurs acteurs autour d’un projet commun qui puisse à la fois répondre à des problématiques environnementales mais aussi locales et sociales. De plus, l’aspect du travail en réseau m’a aussi beaucoup plu. J’aime le fait de convaincre les acteurs d’adhérer au projet mais aussi de les inciter à créer un réseau et travailler tous ensemble entre professionnels. Quels sont tes principaux défis professionnels ? Mon principal défi est de réussir à convaincre les acteurs de la pertinence de passer à l’Eusko. En effet, ma mission est d’éduquer autour de la sensibilisation à l’environnement et aussi du passage à l’acte. Ce sont des défis auxquels j’ai déjà pu être confronté, mais avec l’Eusko c’est une dimension différente puisque cela sera face à des professionnels. Jusqu’à présent je n’avais pas eu l’occasion de travailler directement avec des entreprises, c’est donc un nouveau défi pour moi. Un autre défi est mon secteur d’intervention puisque, certes Bayonne est une zone bien développée mais ce n’est pas encore totalement le cas pour la zone de Nive Adour et Pays de Bidache. Cela va donc être un gros challenge pour moi de comprendre la réalité de ces territoires et de réussir à convaincre les professionnels de cette zone de la pertinence du projet et leur donner envie de passer à l’acte. C’est quoi ta philosophie de vie au quotidien ? Une passion ? Comme vous l’avez compris, je suis assez préoccupée par les problématiques environnementales. C’est avant tout car je passe une grande partie de mon temps dehors. J’aime la forêt, l’Océan, je fais du sport, je pratique le surf, la nage, le body surf, la plongée et j’ai découvert récemment via un stage, la voile. J’ai une réelle passion pour l’Océan, cela m’anime beaucoup. C’est pourquoi, de manière générale ma philosophie de vie est vraiment reliée à mon parcours. J’aime pouvoir mêler les questions environnementales, économiques et sociales dans ma vie de tous les jours. J’ai également besoin d’avoir de l’interaction sociale. J’adore participer à des festivals de musiques, m’engager dans l’associatif localement sur mon territoire, participer à des projets de sensibilisations et rencontrer des nouvelles personnes. Ma philosophie de vie c’est d’être très curieuse. C’est ce qui m’a poussé pendant longtemps à découvrir de nouvelles cultures et aller à l’étranger. Aujourd’hui, j’ai envie de découvrir et de continuer à être curieuse au sein même de mon territoire apprendre la langue basque, faire des randonnées, découvrir des villes et gens que je ne connais pas encore. Milesker eta ongi etorri Léa ! 🙂 Publié le 08/06/2002 à 0000 Créée en 1995, l'association 18-30 Insert Export s'avère être une mine d'informations pour les jeunes 18-30 ans qui veulent travailler dans l'international. Ouverte à ses débuts pour les diplomés, elle s'est largement démocratisée et diversifiée et offre désormais ses services à tous les publics demandeurs d'empois ou de stage. On aide des jeunes dans leur recherche qui parfois n'ont même pas le CAP », rappelle une responsable de l'association. Si Insert Export n'a pas pour vocation de décharger le jeune des recherches nécessaires pour son projet, elle l'aide et l'accompagne dans ses démarches et l'informe sur l'accès aux marchés internationaux programmes et conditions de mobilité, situation des marchés du travail, etc. ACQUERIR LES BONNES BASES Elle propose outre ces informations primordiales, des cours de méthodologie afin de mener à bien les projets de ses adhérents entretiens individuels, technique de recherche d'emplois. Tout comme des formations-pays » qui mettent en condition les futurs expatriés rencontres avec d'autres jeunes, partis à l'étranger, afin de discuter de la culture du pays, de ses us et coutumes ou bien encore de son système religieux et économique. La Chine et l'Afrique sont des pays qui n'ont pas du tout les mêmes habitudes que nous, ni les mêmes rites, il faut donc une préparation pour que les jeunes puissent s'intégrer facilement ». Les plus qualifiés choississent généralement les destinations anglo- saxonnes USA, Canada alors que celles des moins qualifiés sont plus diverses, même si l'Afrique reste très priAdhésion annuelle 30,50 euros sée du fait de la forte demande en volontariat et en bénévolat dans les associations humanitaires. Il ne s'agit cependant pas seulement d'expatriation et de postes à l'étranger, mais aussi d'emplois en France, liès à l'international comme la traduction. OUVERT AUX ENTREPRISES En aval, elle ouvre également ses portes aux entreprises puisqu'elle offre aux PME-PMI qui le souhaitent l'accès à une base de données de plus 500 jeunes/an, des CV collectifs de demandeurs d'emplois, et des informations sur la création d'emploi export. ______ 18-30 Insert Export, 25 rue Magendie 31400 Toulouse, tél Pierre DUPUY Mis à jour le 31 mars 2022 Chacun est soucieux de ses modes de consommation et cela touche aussi le tourisme. De plus en plus de personnes recherchent l’authenticité et le retour à la nature pour voyager à prix mini. Le wwoofing France et dans le monde représentent sûrement la solution tendance du moment ! Surtout dans la société dans laquelle nous vivons, toujours plus connectée et dépendante de ces technologies, un retour à la normale » et à la nature ne peut que faire un grand bien ! On vous explique ce que c’est. À lire aussi Les transports de demain les enjeux de mobilité verte et mobilité durable !Transition Écologique Les acteurs qui favorisent le développement durable Que signifie le mot woofing ? Le woofing ou wwoofing est l’acronyme de world wide opportunities on organique farms » et désigne le fait de partir en voyage à la campagne, pour travailler dans une ferme biologique et se détendre. Le terme HelpX pour help exchange est également utiliser pour désigner ce genre de pratique. Il s’agit en effet d’un échange de services. Les voyageurs aident le fermier pas un travail de quelques heures par jour, tandis que l’agriculteur aide ses hôtes à voyager en leur offrant le gîte et le couvert. Ce genre de voyage offre l’opportunité de découvrir de nouvelles régions ou de nouveaux pays, tout en étant en contact direct avec la population locale et en faisant un acte de volontariat. De plus, il permet d’apprendre de nouvelles techniques d’agriculture, de jardinage, de cueillette ou encore d’élevage. Le woofing peut être vu comme une première expérience dans le domaine de l’agriculture, comme un acte de bénévolat envers une exploitation agricole ou tout simplement comme un voyage dépaysant et reposant, mais pas cher. Le woofing vu comme un acte écologique d’entraide. De nombreux voyageurs effectuant un voyage wwoof le font pour sa cause écologique et humaine. En effet, woofer vous permet de vous impliquer dans une agriculture biologique. Eh oui, le verbe woofer existe réellement, mais pas encore dans le dico ahah ! Par la suite, cela vous permettra d’appliquer ces gestes à la maison, en installant votre propre potager ou tout simplement en achetant des produits locaux et bio, afin de soutenir les activités similaires à celles dans laquelle vous vous êtes impliqués durant les vacances. Le woofing vu comme un voyage de découverte. Mis à part son côté humanitaire, partir en woofing est souvent également perçu comme un séjour chez l’habitant rempli de découvertes en tout genre. Premièrement, il vous permet d’acquérir de nouvelles connaissances et compétences en termes d’agriculture. Deuxièmement, il permet de découvrir de nouvelles cultures et de nouvelles personnes. Le voyage wwoof est souvent riche en émotions et en humanité. Il permet également d’aller à la rencontre des animaux et d’apprendre davantage sur eux. Des vaches, chèvres et cochons dans nos campagnes, aux singes et lamas à l’autre bout du monde, le contact animalier peut, lui-aussi, être une source de découverte exceptionnelle. Où partir en woofing en Europe ? Les fermes biologiques étant prêtes à accueillir des citadins en l’échange de quelques heures de travail sont assez nombreuses et se trouvent dans le monde entier. Cependant, si vous voulez rester dans une optique de voyage écologique, il est préférable de rester en Europe afin de limiter les trajets et d’éviter les moyens de transports tels que l’avion. Voici donc les destinations pour voyager autrement tout en restant dans une optique de respect de l’environnement. Les destinations européennes prisées des woofeurs. L’Europe est le continent dans lequel le woofing est le plus développé. Dans presque toute l’Europe, vous trouverez des exploitations agricoles ou autres types de fermes qui accueillent les voyageurs pour leurs vacances. Les pays les plus friands du wwoofing sont la France, l’Espagne, l’Allemagne et bien évidement, le pays fondateur du concept, le Royaume-Unis. Cependant, il est possible de trouver une ferme bio dans la plupart des pays européen. Les types d’établissement fortement appréciés des woofeurs en Europe sont les suivants Une ferme pédagogique souvent appréciées des familles, elles permettent aux enfants de s’appliquer, eux aussi, dans la cause. Les activités sont alors présentées de manière ludiques et montre aux enfants une nouvelle façon de voyager. Une ferme équestre les amateurs d’animaux et plus particulièrement de chevaux se font un plaisir de voyager dans les petites fermes équestres. Elles se trouvent principalement en Angleterre et en France. Une ferme biologique pratiquant la permaculture beaucoup de vacanciers aime utiliser ce temps pour apprendre des techniques qu’ils peuvent reproduire chez eux. La permaculture est donc une technique de jardinage que de nombreux amateurs aimeraient découvrir. Comment faire du woofing en France ? La France étant un des pays proposant le plus de séjours en Wwoofing France, vous n’avez pas besoin d’aller bien loin pour trouver votre lieu de vacances. Il est vrai que le voyage sera moins dépaysant, mais l’expérience peut être tout aussi exceptionnelle ! C’est dans les régions d’Auvergne-Rhône-Alpes, d’Aquitaine, du Limousin, Poitou-Charentes et dans les Pyrénées que vous trouverez le plus de fermes auberges. Il y en a aussi un beau nombre en Normandie et en Bretagne. Voici les étapes à suivre pour woofer en France. Il faut se rendre sur le site wwoof France et adhérer à l’association. Vous devrez alors payer une cotisation annuelle de 15€. Vous recevrez alors par mail la liste des fermes qui accueillent les bénévoles avec leurs coordonnées. Vous pouvez alors contacter l’établissement dans lequel vous voulez vous rendre. Pour se rendre dans d’autres pays, la même démarche est de mise. La cotisation est différente d’un pays à l’autre. Elle est par exemple de 40 dollars aux USA et est gratuite en Pologne. Où partir en Woofing dans le monde ? Pour les voyageurs qui considèrent le woofing plutôt comme une source de découverte, de nombreuses destinations sont également disponibles et permettent un dépaysement total. Si vous voulez, il est possible d’effectuer un véritable tour du monde en woofing, en restant loin des sentiers battus. Voici une liste des destinations les plus prisées dans chaque continent. Les destinations mondiales pour le woofing – Woofing en Afrique Plusieurs pays africains proposent des séjours écologiques chez les fermiers, entre-autre le Cameroun, le Nigeria, le Sierra Leon, l’Afrique du Sud, la Tanzanie et le Togo. Le but de ces voyages sont souvent différents des voyages dans les pays développés. Il s’agit soit d’un projet humanitaire, afin d’aider les populations locales, soit un projet d’aide aux animaux. De nombreuses fermes africaines sont en réalité des associations aidant les animaux dans un parc naturel. Un voyage wwoof en Afrique propose donc une expérience complètement différente des autres, d’un point de vue plutôt d’entraide que de loisir. Woofer en Amérique En Amérique du Nord comme en Amérique du Sud, vous trouverez des fermes écologiques au Canada, au Chili, au Costa Rica, au Guatemala, au Mexique et bien évidement aux USA. La particularité de woofer dans ces pays est que vous pouvez trouver différents types d’accueillants que dans la plupart des autres pays. En particulier, vous pourrez passer votre week-end dans un ranch, au milieu des élevages de chevaux et des troupeaux de bovins… une expérience unique pour les amateurs de western ou d’équitation. Wwoofing en Asie Sur le continent asiatique, le panier de destination est le deuxième plus large après l’Europe. L’Australie, la Chine, la Nouvelle Zélande et l’Inde sont les pays proposant le plus d’auberges, au vu de leur taille. Cependant, le Japon, la Thaïlande, le Sri Lanka ou encore les Philippines proposent des lieux de woofing tous plus dépaysants les uns des autres. Woofing dans le Moyen-Orient Seulement 2 pays du Moyen-Orient proposent du travail à la ferme en l’échange d’être nourri et logé, Israël et la Turquie. Dû à l’instabilité politique dans bon nombre d’entre eux, le woofing ne s’est pas encore énormément dans les pays du golfe. Pourtant, de belles expériences peuvent être vécues dans cette région et de nombreuses choses sont à découvrir et à visiter lors de votre temps libre. Les difficultés de voyager en woofing à l’étranger. Partir en découverte d’une ferme à l’étranger permet de découvrir la vie locale et de se dépayser complètement. Cependant, il y a quelques difficultés qui sont souvent oubliées. Premièrement, un paysan parle rarement l’anglais. La seule langue que vous pourrez utiliser sera souvent la langue locale. La communication peut alors parfois être compliquée… bien que cela donne du charme au voyage. Deuxièmement, les moyens de locomotion pour se rendre à la ferme sont souvent rares voir inexistants. Il faut donc bien se renseigner sur les moyens de transports à utiliser pour arriver à destination. Dernièrement, les fermes se trouvent souvent assez éloignées des villes. Une fois sur place, il vous sera parfois compliqué de vous déplacer afin de visiter les autres régions du pays. Il faut donc bien vous renseigner sur la localisation de la ferme avant de vous engager. Le woofing est un style de voyage merveilleux qui vous permet de vivre une expérience unique dans le monde agricole. Les destinations sont multiples, qu’elles soient proches ou éloignées, le dépaysement est assuré et vous reviendrez des souvenirs plein la tête… Alors n’attendez plus, devenez woofeur ! Sources et Documentation