Théo& Hugo dans le même bateau. Extrait 1 [fr st en] de Olivier Ducastel, Jacques Martineau. Suivez-nous sur. vidéo suivante. mp4 (1920x1080) 0:56
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. Naissance de l´amour en temps réel, par Ducastel et séquence d’ouverture, une vingtaine de minutes dans un sex-club de la capitale française, est impressionnante rien ne nous avait vraiment préparés, dans la filmographie d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau, à une observation aussi crue et juste du sexe entre mecs dans ce qu’on appelle familièrement une “boîte à cul”. Découpage énergique, rapports non simulés, musique tapageuse de Karell & Kuntur et lumière stroboscopique – tout concourt à une exploration réussie de ce qui fait, “souvent” selon le duo de réalisateurs ainsi qu’ils l’expliquent en dossier de presse, la première rencontre de deux hommes homosexuels. C’est donc là , dans une caverne de débauche et d’épanouissement des corps, qu’Hugo et Théo se rencontrent, étreintes passionnées et coït fiévreux après qu’un regard ardent un eye contact prolongé les a plongés dans les bras l’un de l’autre. Il est quatre heures du matin, ils n’ont “pas bu tant que ça” ; le club les rejette vingt minutes plus tard sur les trottoirs du 2e arrondissement, il est 4h20 et peut-être l’heure d’apprendre à mieux se connaître, ailleurs. Sauf qu’Hugo est séropositif, et que dans le feu de l’action, Théo a oublié de mettre une capote ; d’où panique – même en 2016, le VIH est toujours une réalité. S’ensuit une bonne demi-heure de course aux urgences de l’hôpital Saint-Louis, qui fait curieusement ressembler le film à un tract Sida Info Services tout y passe, de l’appel au Numéro Vert dédié à l’explication minute par minute de l’infirmière de garde. Ce n’est pas la partie la plus réussie de Théo & Hugo vont en bateau dont le titre emprunte au Céline et Julie vont en bateau 1974 de Rivette et qui lorgne, pour le côté temps réel, vers le Cléo de 5 à 7 1962 de Varda, même si la tension est palpable et rappelle l’engagement louable des réalisateurs pour la lutte contre la maladie on se souvient du joli Jeanne et le garçon formidable en 1998. Ce qui vient ensuite interpelle plus, juste déambulation dans les rues de l’Est de Paris qui dresse, l’air de rien, la topographie de la ville dans ce qu’elle est aujourd’hui, et telle que les jeunes gens modernes la parcourent du canal Saint-Martin jusqu’à la place Stalingrad, où l’on s’arrête prendre un kebab servi par un immigré syrien qui a un avis sur le conflit en cours dans son pays ; en attendant le premier métro, où l’on croise la plus toute jeune femme qui part faire le ménage dans les hôtels de luxe. C’est le goût de Ducastel et Martineau pour “le vrai Paris” et “les vrais Parisiens”, tels que le sont eux-même Théo et Hugo, bien conscients du fait que, plus tard, ils se sépareront sans doute mais qui, audacieux, se disent qu’une histoire d’amour, pour l’heure, pourrait valoir la peine. Les réalisateurs Jacques Martineau e tOlivier Ducastel à Paris, le 9 février 2010 / AFP/Archives Récompensé par le Teddy Award du public à la dernière Berlinale, "Théo et Hugo dans le même bateau", en salles mercredi, met en scène de façon inédite et sensible une romance homosexuelle confrontée à la menace du film, huitième long métrage des cinéastes français Olivier Ducastel et Jacques Martineau, donne l'illusion d'avoir été tourné en temps réel, rappelant l'esprit et le souffle de la Nouvelle vague. Il débute par une longue scène de sexe non simulé dans la "backroom" d'un sexclub de Paris, ce qui lui a valu une interdiction aux moins de 16 Commission de classification a toutefois estimé que "Théo et Hugo dans un même bateau" ne méritait pas une interdiction totale aux mineurs, sans attendre le nouveau texte réglementaire promis par la nouvelle ministre de la février, Audrey Azoulay a annoncé son intention de modifier les critères sur lesquels repose l'interdiction des films aux moins de 18 ans, afin de "conforter" les avis de la commission de classification et de limiter les recours en justice. Une décision qui fait suite aux victoires judiciaires d'une association proche des milieux catholiques traditionalistes contre plusieurs films dont "La Vie d’Adèle" d'Abdellatif Kechiche ou "Love" de Gaspar ministre s'appuie sur les propositions contenues dans un rapport du Centre national du cinéma CNC qui préconise d'abandonner l'interdiction "automatique" d'un film aux mineurs lorsque celui-ci "comporte des scènes de sexe non simulées ou de très grande violence". - L'émotion indicible du coup de foudre - Couple à la ville comme à la scène, Olivier Ducastel et Jacques Martineau, duo de cinéastes révélé par "Jeanne et le garçon formidable" 1998 et "Drôle de Félix" 2000, célèbrent dans ce nouveau film la naissance d'un amour entre deux garçons, insistant pour la première fois sur l'émotion indicible du coup de foudre et du désir sexuel qui peut faire oublier la prévention du sida. Abordant leur sujet de façon presque documentaire à certains moments, les réalisateurs signent une réelle et émouvante histoire d'amour, où les sentiments plus forts que tout résistent à l'adversité. Après une rencontre dans l'anonymat des corps et une étreinte passionnée, Théo et Hugo, magistralement interprétés par Geoffrey Couët, vu dans le Saint-Laurent de Bertrand Bonello, et la révélation François Nambot, se dégrisent en pleine nuit dans les rues de Paris. A l'aune de leur amour naissant mais aussi de la menace qui pèsent sur eux, du fait de leur imprudence. "Nous savions dès que nous avons lancé l'écriture, qu'il nous faudrait rester dans ce que nous appelons la catégorie des films pirates, totalement en dehors des circuits de financement habituels du cinéma français. Cela nous a offert une grande liberté", explique Olivier Ducastel. "Cela ne valait pas la peine de se mettre en marge si c'était pour produire à la fin des images édulcorées. Nous voulions vérifier qu'il était possible de filmer la sexualité en s'écartant à la fois des interdits moraux et de la grammaire classique des films pornographiques", ajoute-t-il. Pour la première fois, la prophylaxie pré-exposition PrEP, nouvelle stratégie de prévention du VIH à mettre en place 48 heures après un rapport sexuel à risque, est également abordée au cinéma de façon explicite et pédagogique. Synopsis Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant.